• Plats d'accompagnement et interdits<o:p />

    <o:p> </o:p>

    Voici quelques suggestions pour accompagner vos plats, question d'agrémenter votre festin.<o:p>
    </o:p>
    Vous pouvez ser<st1:personname>vir</st1:personname><o:p />

    * gelées de groseille; <o:p>
    * petits oignons blancs rissolés dans du
    beurre, du sucre, avec un peu de jus de cuisson du gibier et une pincée de
    cannelle; <o:p>
    * tranches de pain de mie grillées ou sautées
    au beurre, servant de canapés à des champignons émincés, dorés au beurre,
    salés, poivrés; <o:p>
    * marrons (en boite) au naturel, étuvés au
    beurre avec du jus de cuisson; <o:p>
    * choux verts cuits dans du bouillon de poule
    et parsemés de noisettes de beurre; <o:p>
    * poireaux (blancs) ou bettes, cuits dans du
    lait additionné ou non de poudre d'amandes, après avoir été frits dans le
    beurre; <o:p>
    * petits navets nouveaux glacés (comme les oignons);
    <o:p>
    * épinard en branches braisés, avec des
    lardons; <o:p>
    * purée de pois ou de fèves frais (ou en
    conserve, mais très fins), cuits dans du lait ou du bouillon, mixés, liés avec
    deux jaunes d'oeufs battus, de la crème fraiche, du beurre, un peu de sucre en
    poudre, sel, poivre; <o:p>
    * pommes (fruits) vidées, cuites au four avec
    une noix de beurre au centre; <o:p>
    * riz nature ou au safran; <o:p>
    * citrouille au gratin (plat de fête,
    apprécié seul) : pour 1 kg de potiron coupé en petits morceaux, cuit à l'eau
    salée 20 min., égoutté et mixé en purée, préparez trois jaunes d'oeufs battus
    dans un verre de lait, 100 g de fromage rapé, une pincée de gingembre et de
    safran, une cuiller à thé de sucre, 50 g de beurre fondu. Mélangez le tout,
    versez dans un plant à gratin graissé, et mettez à four chaud de 20 à 30 min.
    en surveillant la cuisson (doré). Saupoudrez de cerfeuil haché au moment de ser</o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p>
    <st1:personname>vir</st1:personname>. <o:p>
    </o:p>

    Vous ne devriez pas ser<st1:personname>vir</st1:personname><o:p />

    * les frites et les pommes de terre en

    général (Importé d'Amérique à la renaissance); <o:p>
    * le thé (importé de Chine à la renaissance);
    <o:p>
    * le café (importé d'Amérique); <o:p>
    * le cacao et chocolat; <o:p>
    * la dinde ou dindon (sauf si camouflé pour
    simuler un paon ou un cygne); <o:p>
    * la banane, l'ananas, la mangue, les fruits
    de la passion, la rhubarbe, le kiwi, la canneberge, la fraise de jardins et les
    bleuets; <o:p>
    * les arachides ou le beurre d'arachide, les
    noix du Brésil, noix de pacane, noix de coco; <o:p>* le choux de Bruxelles, artichauts, le
    brocoli, les haricots verts, la laitue Iceberg, le maïs ou blé d'Inde, l'avocat;
    <o:p>
    * les piments rouges ou vert mexicains (pas
    les poivrons); <o:p>
    * la tomate (Importé du Pérou à la
    renaissance); <o:p>
    * les épices : le poivre de Chili, poivre de
    Jamaïque, la vanille, le poivre vert et rose; <o:p>
    * la margarine (invention chimique moderne); <o:p>
    * le sirop ou tire d'érable ou de maïs. </o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p></o:p>




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  • Champignons aux épices

    Ingredients (pour 4-5 personnes):
    - Cèpes, pleurotes ou champignons de couche (500g)
    - Eau
    - Oignon jaune ou blanc de poireau (1)
    - huile d'olive (2c à soupe)
    - Poivre (1 pincée)
    - Carvi (qq grains)
    - Coriandre (10 grains)
    - Noix de muscade (1 pincée)
    - Gingenbre sec (2 pincées)
    - Origan (2 pincées)
    - Sel

    Préparation:
    Nettoyer les champignons sans les laver, oter les pieds terreux au
    besoin. Les couper en menus morceaux.
    Les jeter en une casserole d'eau bouillante et faire blanchir quelques
    minutes. Les sortir de l'eau et bien les égoutter dansun linge.
    Emincer l'oignon, ou le blanc de poireau, puis le faire revenir à
    l'huile d'olive sur feu vif. Y ajouter ensuite les champignons et faire
    frire, toujours à feu vif, pendant 5 minutes en remuant sans cesse.
    Dans un petit bol, meler le poivre long, le carvi et la coriandre
    broyés au mortier, la noix muguette (muscade) rapée, le gingembre en poudre
    et l'origan finement haché.
    Saler et ajouter la pouldre d'espices. Laisser mijoter à couvert durant
    environs un quart d'heure à feu doux. retourner de temps à autre.

    Remarque:
    Une des rares recettes medievales à faire entrer des champignons en la
    cuisine. Leur nature froide et humide à l'extreme les rendaient
    suspects aux yeux des "physiciens" et des "maistres queux". C'est pourquoi, la
    recette envisage d'abord de les ebouillanter puis de les frire pour
    temperer leur nature douteuse. Par la suite, l'ajout d'oignon ou de
    poireau, de sel et d'épices fortes contribuera encore à rassurer les convives
    faces à cette perilleuse, mais delicieuse experience. Ne pas oublier de
    "boire du vin vieux, fort et pur" et de manger une poire en fin de
    repas.


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  • <o:p>
    </o:p> Voici quelques suggestions pour
    accompagner vos plats, question d'agrémenter votre festin.<o:p />







    <o:p>
    </o:p>
    Vous
    pouvez ser
    <st1:personname>vir</st1:personname><o:p />



    *     gelées de groseille; <o:p />



    *     petits oignons blancs rissolés dans du
    beurre, du sucre, avec un peu de jus de cuisson du gibier et une pincée de
    cannelle; <o:p />



    *     tranches de pain de mie grillées ou sautées
    au beurre, servant de canapés à des champignons émincés, dorés au beurre,
    salés, poivrés; <o:p />



    *     marrons (en boite) au naturel, étuvés au
    beurre avec du jus de cuisson; <o:p />



    *     choux verts cuits dans du bouillon de poule
    et parsemés de noisettes de beurre; <o:p />



    *     poireaux (blancs) ou bettes, cuits dans du
    lait additionné ou non de poudre d'amandes, après avoir été frits dans le
    beurre; <o:p />



    *     petits navets nouveaux glacés (comme les oignons);
    <o:p />



    *     épinard en branches braisés, avec des
    lardons; <o:p />



    *     purée de pois ou de fèves frais (ou en
    conserve, mais très fins), cuits dans du lait ou du bouillon, mixés, liés avec
    deux jaunes d'oeufs battus, de la crème fraiche, du beurre, un peu de sucre en
    poudre, sel, poivre; <o:p />



    *     pommes (fruits) vidées, cuites au four avec
    une noix de beurre au centre; <o:p />



    *     riz nature ou au safran; <o:p />



    *     citrouille au gratin (plat de fête,
    apprécié seul) : pour 1 kg de potiron coupé en petits morceaux, cuit à l'eau
    salée 20 min., égoutté et mixé en purée, préparez trois jaunes d'oeufs battus
    dans un verre de lait, 100 g de fromage rapé, une pincée de gingembre et de
    safran, une cuiller à thé de sucre, 50 g de beurre fondu. Mélangez le tout,
    versez dans un plant à gratin graissé, et mettez à four chaud de 20 à 30 min.
    en surveillant la cuisson (doré). Saupoudrez de cerfeuil haché au moment de ser
    <st1:personname>vir</st1:personname>. <o:p />



    <o:p> </o:p>



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    Vous ne
    devriez pas ser
    <st1:personname>vir</st1:personname><o:p />



    *     les frites et les pommes de terre en
    général (Importé d'Amérique à la renaissance); <o:p />



    *     le thé (importé de Chine à la renaissance);
    <o:p />



    *     le café (importé d'Amérique); <o:p />



    *     le cacao et chocolat; <o:p />



    *     la dinde ou dindon (sauf si camouflé pour
    simuler un paon ou un cygne); <o:p />



    *     la banane, l'ananas, la mangue, les fruits
    de la passion, la rhubarbe, le kiwi, la canneberge, la fraise de jardins et les
    bleuets; <o:p />



    *     les arachides ou le beurre d'arachide, les
    noix du Brésil, noix de pacane, noix de coco; <o:p />



    *     le choux de Bruxelles, artichauts, le
    brocoli, les haricots verts, la laitue Iceberg, le maïs ou blé d'Inde, l'avocat;
    <o:p />



    *     les piments rouges ou vert mexicains (pas
    les poivrons); <o:p />



    *     la tomate (Importé du Pérou à la
    renaissance); <o:p />



    *     les épices : le poivre de Chili, poivre de
    Jamaïque, la vanille, le poivre vert et rose; <o:p />



    *     la margarine (invention chimique moderne); <o:p />



    *     le sirop ou tire d'érable ou de maïs. <o:p />




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  • EVOLUTIONS
    TECHNIQUES : XIX¡ ET XX ¡ SIéCLES<o:p />



    Les
    évolutions techniques se sont produites parallèlement sur plusieurs fronts :<o:p />



    méthodes
    de fermentation, pétrissage, fours et minoterie.<o:p />



    - Dans
    le domaine des méthodes de fermentation : l'utilisation de la levure de bière,
    dès 1665, devait conduire, près de deux siècles plus tard, à une sorte de
    levure idéale inventée par un distillateur de Vienne. La levure issue de cette
    méthode se révéla si fiable qu'elle fut utilisée en Europe jusqu'en 1904. <o:p />



    Mais ce
    fut un boulanger polonais qui franchit un pas décisif en trouvant le moyen de
    se passer de levain. Cette méthode connue sous le nom de "poolish"
    permettait d'obtenir un pain moins acide connut sous le nom de "pain
    viennois". Son succès en France fut considérable jusqu'aux années 1920.
    Puis il fut remplacé par un nouveau "pain fantaisie", tout en
    longueur, à la croûte fine et craquante et à la mie couleur crème, légère et
    alvéolée célèbre sous le nom de "baguette", "bâtard", ou "ficelle".<o:p />



    - Dans
    le domaine du pétrissage, d'importants progrès furent réalisés à partir de
    l'invention du pétrin mécanique, au XIX ¡ siècle. Toutes sortes de mécanismes
    <st1:personname>vir</st1:personname>ent alors le jour : pétrin à
    manivelles, pétrin hippomobiles sur le modèle des pétrins antiques, pétrin
    hydraulique... mais il faudra attendre la fin du siècle et l'apparition des
    moteurs à essence et électriques pour des avancées convaincantes.<o:p />



    Au
    milieu des années 1920 en tout cas, le pétrissage à bras avait totalement
    disparu.<o:p />



    - Les
    fours bénéficièrent sensiblement des mêmes progrès. Jusqu'aux années 20, on
    emploiera toujours une version améliorée des fours à bois. Puis les boulangers
    équiperont leur four de brûleur au gaz ou au mazout. Les fours électriques les
    remplaceront à mesure que le prix de l' électricité baissera.<o:p />



    - La
    minoterie moderne, quant à elle, est née en Amérique, à la fin du XVIII¡
    siècle, avec les premiers moulins à vapeurs. A la fin du XIX¡ siècle, en
    Hongrie, les meules de
    <st1:personname>pierre</st1:personname>s seront remplacées par des cylindres de métal. La fine farine
    issue de ces moulins hongrois deviendra célèbre dans le monde entier et aidera
    à répandre universellement l'usage des moulins à cylindres de métal .<o:p />



    - Enfin
    avec les découvertes génétiques faites en 1860 par le moine botaniste Gregor
    Mendel, l'ancestrale culture du blé elle-même devait connaître des
    bouleversements majeurs.<o:p />



    Il
    faudra attendre près d'un siècle pour que soient appliquées ces méthodes
    d'hybridations qui donnent aujourd'hui encore au blé ses incomparables qualité
    boulangères .<o:p />



    EVOLUTION
    DE LA CONSOMMATION : XX¡ SIéCLE<o:p />



    Au XX¡
    siècle, le pain a continué à jouer le rôle primordiale qui a été le sien tout
    au long de l'histoire de l' humanité.<o:p />



    Au
    moment de la première guerre mondiale, il servit une fois de plus d'arme
    stratégique ; en avril 1917 notamment, lorsque les U.S.A privèrent l'Allemagne
    et l'Autriche de blé précipitant ainsi leur chûte.<o:p />



    Pendant
    la crise économique des années 30, les français défilaient dans les rues au cri
    de : "Du travail et du pain".<o:p />



    Lorsque
    l'Allemagne nazie étendit son ombre sur le monde, ses dirigeants firent main
    basse sur tous les stocks européens de blé. On vit alors apparaître les tickets
    de rationnement et les pains de substitution : pain de farine de fèves, de riz,
    de maïs d'orge et même de pomme de terre.<o:p />



    Il
    était loin ce chef-d'oeuvre de la boulangerie des années 30 appelée "
    baguette" qui fut à l'origine de la réputation mondiale du pain français !<o:p />



    Dans
    les années 50, une nouvelle technique de pétrissage dite
    "intensifiée" permet d'obtenir, grâce à une oxydation excessive de la
    pâte, un pain d'une blancheur immaculée. C'était exactement ce que réclamait
    l'époque lasse des pains grisâtres de la guerre, synonymes de mauvaise qualité
    et de rationnement. Mais cette blancheur aura un prix : la fadeur,
    l'inconsistance de la mie et surtout une conservation du pain réduite à
    quelques heures.<o:p />



    D'abord
    séduits, les français se lassent vite de ce pain. Alors que dans les années 30
    un français consommait en moyenne 500 grammes de pain par jour, il n'en
    consomme plus que 200 grammes dans les années 70 et 60 grammes dans les années
    80.<o:p />



    RETOUR
    Ë L'AUTHENTICITE<o:p />



    Pain
    fabriqué en usine, pré-tranché et pré-emballé ou pain blanc cotonneux
    prétendument artisanal, le pain des années 60- 70 n'a plus grand chose de
    commun avec le pain. Le coup final sera porté avec la technique de surgélation
    transformant bon nombre de boulangeries en "terminaux de cuisson".<o:p />



    Au
    début des années 70 cependant, un réaction salutaire se produisit. En France on
    vit réapparaître sous le nom de "miches de campagne" des pains dignes
    de ce nom.<o:p />



    Peu à peu les boulangers redécouvraient les vertus des bonnes farines,
    de la cuisson au feu de bois, du levain naturel et de la pâte peu pétrie mais
    longtemps fermentée. Si bien que l'on peut aujourd'hui retrouver, un peu
    partout dans le monde, un pain de grande qualité gustative.


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  • Tartiflette carottes et Mont d'or

    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°



    Préparation : 10 min

    Cuisson : 20 min



    Ingrédients (pour 2 personnes) :



    - 800 g environ de carottes



    - 1/2 oignon coupé en dés



    - 15 cl de crème liquide



    - un bon morceau de Mont d'Or



    - 150 g de lardons



    - sel, poivre





    Préparation :



    Épluchez les carottes et les couper en rondelles, les cuire à la vapeur.



    Coupez l'oignon en dés.



    Enlevez la croûte du mont d'or et coupez-le en morceaux.



    Cuire les lardons et l'oignon ensemble. Préchauffez le four à 180°C.



    Une fois les carottes et les lardons+oignons cuits, mettez les ingrédients dans des cassolettes individuelles comme suit :



    - commencez par mettre la crème liquide dans le fond de la cassolette,



    - puis une couche de carotte, quelques morceaux de Mont d'Or, les lardons + oignons,



    - une couche de carottes, salez, poivrez, encore quelques morceaux de Mont d'Or et un petit peu de crème.



    Mettre au four pendant 10 min pour que le Mont d'Or fonde et le tour est joué.





    Recette proposée par Valérie Boone.




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